Je vous souhaite à toutes et tous de merveilleuses fêtes de fin d’année, quelques soit les circonstances actuelles. Pour vous remonter un peu, je l’espère le moral, voici ci-après, un article du Dr Thierry Shmitz, un peu coup de colère, et je pense qu’il a entièrement raison, même sans aller jusqu’à moi (j’ai embrassé une personne ayant eu la Covid19 (méchante) 13 jours avant, parce que cela lui faisait du bien, il y a 2 mois, et malgré mon cancer, je suis en pleine forme!), on peut se voir en étant prudent mais ensemble, ce que je fais avec toute ma petite famille pour noël. Voici son texte:
Avez-vous vous aussi écarquillé les yeux et failli tomber de votre chaise en entendant les propos du professeur Rémi Salomon de l’Assistance publique des hôpitaux de Paris (APHP) ?
Pour rappel, les voici :
« On peut aller chez papy et mamie à Noël, mais on ne mange pas avec eux, a-t-il expliqué. On coupe la bûche de Noël en deux, papy et mamie mangent dans la cuisine et nous dans la salle à manger. »
Je dois vous confesser que cette phrase me reste vraiment en travers de la gorge…
Cela veut dire que les enfants et les petits-enfants peuvent aller voir leurs aînés, mais ne doivent ni les toucher, ni manger en leur compagnie.
Le message envoyé, en définitive, c’est qu’il faut laisser « papy et mamie » dans leur solitude.
Or, ne pas aller voir ses grands-parents, c’est les oublier.
Et les oublier, c’est les condamner.
Où est passée la dimension humaine dans toute cette folie épidémiologique ?
Un simple rappel des gestes et des distances n’aurait-il pas suffi pour rassurer les plus inquiets et les plus fragiles ?
Un peu d’empathie et de tact nous auraient (peut-être) remonté le moral.
Une situation qui n’est pas exceptionnelle quand la mortalité de la pandémie concerne 1 personne sur 2000.
Non, ce n’est pas la peste noire, qui a fauché 1 personne sur 3 au XIVe siècle, répétons-le.
Et quel que soit le danger sanitaire, nous sommes des êtres sociaux. Sans la proximité des nôtres, nous flétrissons et nous mourons, quel que soit notre âge.
Même les criminels ne sont pas seuls en prison ! Ils ont des compagnons de cellule, ils parlent entre eux dans la cour. Ils se rencontrent quotidiennement.
Mais les gouvernements du monde entier, en accord avec l’OMS et les laboratoires pharmaceutiques, ont décidé de mettre à l’isolement l’humanité entière !
Or, même si la pandémie devait avoir des effets secondaires redoutables sur le long terme, il faut vivre au présent !
Il n’y aura pas de long terme, ou même de moyen terme si l’on continue à nous incarcérer chez nous et à nous empêcher de respirer quand nous sortons.
Autrefois associées à notre « sédentarité », les maladies de civilisation explosent maintenant, avec notre enfermement :
- Diabète,
- Obésité
- Maladies auto-immunes
- Démences (dont Alzheimer, Parkinson)
- Cancers…
Alors, cela n’engage que moi, mais je reste persuadé qu’il faut couper la bûche avec « papy et mamie », en restant prudents bien sûr.
L’isolement et l’aliénation vont de pair, alors tâchons, tout en respectant les gestes barrières, de profiter des nôtres en cette période des fêtes qui clôt une année pour le moins éprouvante.
Car comme l’écrivait Victor Hugo, « l’amour d’une famille est le centre autour duquel tout gravite et tout brille »
Aimez-vous tant que vous êtes vivants, et passez un excellent réveillon de noël !
Fin de citation. Je rajouterai, qu’ayant grandi en partie en Afrique, de par un père chirurgien militaire, j’ai vu en 71 (j’avais alors 11 ans, et cela m’a marqué), au Tchad, ce que peut faire une épidémie de choléra, et croyez moi, cela fait beaucoup beaucoup plus de mort que la covid! Oui, mais, c’est vrai, j’oubliais, pardon, ils étaient noirs……..
Alors profitez de votre vie, tant que vous en avez le loisir, profitez des vôtres, tant que la vie vous en laisse le bonheur. Covid ou pas, tout cela s’arrête un jour. Pour tous. Faites en sorte de ne rien regretter !!!!
Au plaisir de vous retrouver l’an prochain.
Merci beaucoup pour votre texte, et celui du docteur shmitz, un peu colère oui je trouve aussi, votre conclusion remet en perspective le plus important, la vie et cette conscience d’être vivant sans bien sûr (ai-je envie d’ajouter) mettre volontairement autrui en danger, l’animal social que nous sommes a besoin des uns des autres et est un être interdépendant des êtres non-humains également, de la vie en général je vais dire, je vous souhaite de très bonnes fêtes, bien entouré, et à bientôt de vous lire
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Merci Louise. Belles fêtes à toi.
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Bonne fête à toi Philippe
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Merci Monique, plein de bonheurs en cette période. Embrasse Malika pour moi; Gros bisous aussi à tes puces.
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Tout à fait, ils étaient noirs…… Comme les foyers Ebola bien ciblés.
Comme tu le sais, je continue à vivre…..avec les nouvelles taxes votées pendant cette pandémie et qui me tombent sur la tête pour janvier 2021. Tout le monde n’a pas confiné.
Je te souhaite de belles fêtes de fin d’année, je te demande pardon pour mon retard, j’étais plongée dans l’informatique.
Tout s’arrange, soyons vivants.
A très bientôt 😘😘😘😘
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Et comme tant d’autres choses. Ne te fais pas de soucis, il n’y a aucun retard. A très bientôt. 😘😘😘😘
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